Les news de l'immo
Le 15/05/2017
La nouvelle région de Bourgogne Franche-Comté représente une certaine idée de la France. Une France rurale, authentique, qui ne compte que très peu de grandes villes. Seules Dijon et Besançon dépassent les 100.000 habitants. Ensuite, on tombe à 50.000 habitants à Belfort. Les 2,8 millions d’habitants (soit 4% de la population française) de cette région habitent donc dans des villages et des communes, notamment dans l’ouest de la Bourgogne. De l’autre côté, la moitié de la Franche-Comté est recouverte par des forêts, en particulier dans les massifs des Vosges et du Jura. Entre 1990 et aujourd’hui, la population a augmenté de 4%, contre 13% au niveau national.
Si l’économie locale - qui est l’une des moins tertiarisées des régions françaises est moins dynamique que la moyenne nationale, le taux de chômage est en revanche plus bas que dans les autres régions ! Il s’élève à 9,2%, contre 10,4% dans l’ensemble du pays. La structure des emplois révèle le poids de l’industrie, l’agriculture et la construction (28% des postes dans la région contre 21% en France). Quant aux impôts, 60% des foyers fiscaux y sont imposables, contre 56% en moyenne.
En matière d’immobilier, les prix du marché sont largement inférieurs à la moyenne nationale ! Dans l’ancien, le prix au mètre carré s’élève à 1730 €, soit quasiment 50% de moins que dans l’ensemble des régions de France. Dans le neuf, l’écart est toujours baissier, mais moins significatif : le mètre carré coûte 3211 € contre 3655 € pour la moyenne nationale. Si l’on veut faire de belles affaires à la frontière Suisse, on peut se tourner vers Belfort, où un bien immobilier ancien vous sera vendu à 1300 € le mètre carré ! Pour financer leurs logements, les habitants de la région Bourgogne Franche-Comté ont un recours au crédit équivalent à la tendance qui est observée en France.
En tout, la région compte quasiment 1,5 millions de logements (4,5% du parc national) dont 61% se trouve dans la région Bourgogne. Dans quels types d’habitations vivent les habitants ? Essentiellement dans des maisons, pour 65% d’entre eux. Soit 10% de plus que la moyenne des Français, qui sont 56% à habiter dans une maison. En Bourgogne Franche-Comté, seuls 35% des habitants vivent dans un appartement. Et ils sont 64% à être propriétaires de leur logement.
Source : immobilier.lefigaro.fr
En France : les ventes de maisons individuelles toujours dynamiques en 2017. Les ventes de maisons individuelles ont affiché une 'puissante progression' au premier trimestre 2017, poursuivant sur le rythme dynamique de l'an dernier, selon des chiffres annoncés mercredi par les professionnels du secteur.
De janvier à mars ces ventes ont augmenté de 15,8% par rapport à la même période de l'an dernier, selon l'indicateur Markemétron publié par les Constructeurs et aménageurs de la Fédération française du Bâtiment (LCA-FFB) et Caron Marketing. Et à fin mars 2017, le taux de croissance annuel atteignait même +19,5%, soit 139.500 maisons vendues sur les douze mois écoulés.
Dans un communiqué, les constructeurs se félicitent de 'la poursuite, sur les trois premiers mois de l'année 2017, de la puissante progression des ventes de maisons individuelles'. Cette croissance est 'soutenue par des conditions de crédit favorables et un prêt à taux zéro (PTZ) parfaitement calibré qui permettent aux ménages de garder un +moral immobilier+ tonique, malgré les incertitudes économiques et politiques', commentent-ils. Après avoir enregistré une hausse de 13,7% en 2015, les ventes de maisons neuves en secteur diffus -hors lotissements réalisés par les promoteurs-, ont bondi l'an dernier de 19,5% pour s'établir à 133.600, selon la LCA-FFB. Cette reprise succédait à quatre années de recul. Pour le président de LCA-FFB, Patrick Vandromme, cette conjoncture favorable doit inciter 'le futur hôte de l'Élysée et les futurs parlementaires' à conserver 'les dispositifs qui fonctionnent et porter toute l'attention sur les trop nombreux blocages, qui affectent les délais de production et renchérissent les coûts ». L’organisation LCA-FFB regroupe l'Union des Maisons Françaises (UMF) et l'Union des Constructeurs Immobiliers de la Fédération française du bâtiment (FFB), soit quelque 800 entreprises (constructeurs de maisons, promoteurs immobiliers et aménageurs-lotisseurs).
Source : capital.fr
Le 17/10/2016
Chacun cherche à profiter de ce contexte exceptionnel.
Selon l'observatoire Crédit Logement/CSA, les taux d'intérêt des crédits immobiliers accordés aux particuliers par les banques en France sont tombés à 1,48% en moyenne en août. Nous vivons ce qu'on appelle une parenthèse enchantée. Ceux qui ont un projet d'achat réalisent que c'est la période idéale pour le réaliser, tandis que les vendeurs estiment qu'il est temps de mettre leur bien en vente. La reprise du marché immobilier ancien n'est plus seulement annoncée, mais bien actée, avec une hausse moyenne du nombre de transactions pour cette catégorie de biens d'environ 10%.
Quel que soit leur âge, les Français utilisent au maximum le levier du crédit. Sur tout le territoire, la quotité de financement par emprunt augmente, à 81% du montant global de l'acquisition, contre 75,5% à la même période l'an dernier.
L'encadrement des loyers sans effet sur les investisseurs.
Et les investisseurs, aidés par le dispositif fiscal Pinel, sont toujours très actifs, en réalisant environ 18% des achats. Alors que l'annonce de l'encadrement des loyers avait créé une inquiétude, il semble qu'il n'y ai pas de retrait marquant des futurs bailleurs, cet investissement restant privilégié sur le long terme.
Dans ce contexte porteur, les réseaux d'agences immobilières observent des délais de ventes plus courts à l'échelle nationale. Malgré cette activité soutenue, les prix restent sages avec une hausse de 1 à 2 % en moyenne.
On peut penser que acquéreurs et vendeurs ont tout intérêt à concrétiser leurs projets, car dans les années à venir, la Banque centrale européenne (BCE) demandera aux banques françaises d'exiger plus de garanties de leurs clients et de proposer davantage de taux variables, pour s'aligner sur la norme européenne. Ce qui reduirait nécessairement la part des acquéreurs solvables.
source : www.challenges.fr
Le principal taux d’intérêt dans la zone euro se situe pour l’instant à un niveau record de 0,05%. Les intérêts de dépôt pour les banques qui placent de l’argent auprès de la BCE sont même négatifs (-0,3%) depuis un certain temps. Et selon certains, les taux peuvent encore aller plus bas.
Pour les épargnants, les taux bas ne sont pas un cadeau. Beaucoup d’entre eux se demandent par conséquent pourquoi les banques centrales diminuent systématiquement leur taux. En fait, elles le font en premier lieu pour tenter de donner un coup de pouce à l’économie vacillante.
Comment cela fonctionne exactement ?
La diminution des taux rend les livrets d’épargne moins attractifs. De ce fait, la probabilité que les familles consomment plus augmente. Et ce qui est acheté en plus doit aussi être produit. Ce qui mène à de nouvelles opportunités d’emploi et donc, à nouveau, à de la consommation supplémentaire.
En outre, les taux d’intérêt plus bas dans la zone euro permettent aux entreprises européennes de pouvoir emprunter moins cher. De ce fait, elles sont censées investir plus, ce qui est également positif pour l’économie de la région.
Des taux d’intérêt plus faibles au sein de la zone euro signifient aussi que la valeur de l’euro baisse par rapport aux autres monnaies. Ce cours plus avantageux augmente les opportunités d’exportations pour les industries européennes. Cela aussi est une bonne nouvelle pour l’économie.
Cependant, la stratégie derrière un changement de taux d’intérêt est en général encore plus complexe. Bien que la BCE désire, avec la récente diminution des taux d’intérêt, à nouveau stimuler l’économie européenne, d’autres facteurs interviennent souvent également, comme des éléments politiques par exemple.
Et l’inflation dans tout cela ?
Avec une diminution des taux d’intérêt, la BCE désire donc notamment stimuler la consommation. Du fait que la demande de biens et services augmente, les prix vont toutefois aussi augmenter. Le cours plus bas de l’euro contribue en outre à ce que les biens et services importés deviennent relativement plus chers. Et ainsi, l’inflation grimpe.
Un peu d’inflation est cependant bon pour l’économie. Plus encore: une inflation de 1,8 à 2% du PIB sur base annuelle est considérée comme un niveau favorable par la BCE. Et nous en sommes encore très loin - avec un pourcentage qui, en ce moment, est à peine audessus de zéro.
source : moneytalk.com
Le 09/08/2016
Les premiers barèmes de taux communiqués par les courtiers en emprunts immobiliers pour le mois de juillet sont encore en baisse ! Il s’agit du sixième mois consécutif de recul des taux immobiliers. Si les banques continuent à améliorer leurs offres commerciales et à se concurrencer en pleine période forte de l’année pour les achats de logements, un événement économique assez inattendu a influencé les taux en ce dé but d’été: le Brexit et sa conséquence directe sur les taux d’emprunt d’Etat français, tombés à un plus bas historique de 0,17% le 1er juillet pour les OAT 10 ans. Concrètement, les banques peuvent ainsi se refinancer sur 10 ans à un coût quasiment nul, ce qui leur laisse de la marge pour prêter autour de 1%.
Guerre des taux
Les baisses du mois de juillet sont comprises entre 0,05% et 0,1% selon la durée. En moyenne, les Français empruntent actuellement autour de 1,3% sur 10 ans, 1,6% sur 15 ans, 1,8% sur 20 ans et 2,1% sur 25 ans. Pour les meilleurs profils justifiant de revenus élevés et d’un apport conséquent, les courtiers mentionnent des négociations record jusqu’à 0,8% sur 10 ans, 1,05% sur 15 ans, 1,2% sur 20 ans et même 1,45% sur 25 ans.
Les délais restent raisonnables
L’autre bonne nouvelle pour les emprunteurs, c’est qu’il n’y pas de phénomène d’engorgement comme l’été dernier. «Les banques restent dans une phase de conquête active avec des taux toujours en baisse, et tout juste constate-t-on ici ou là dans quelques caisses régionales un léger allongement dans le traitement des dossiers, mais ce n’est absolument pas de la part des banques une façon de bloquer les flux entrants et aucune d’entre elle ne nous a indiqué vouloir ralentir sa production dans le courant de l’été», explique ainsi Maël Bernier, Directrice de la communication du courtier Meilleurtaux.com.
Forte baisse depuis le début de l’année
Depuis le début d’année, les taux ont perdu 0,6% à 0,7% en moyenne, voire davantage pour les meilleurs profils. Pour un emprunt de 200 000 € sur 20 ans, cette baisse a permis de gagner environ 14 000 € sur le coût du crédit et de faire passer la mensualité sous la barre des 1 000 € (hors assurance).
Le moment idéal
Pour ceux qui ont déjà un emprunt en cours, ces nouveaux records relancent bien sûr les opportunités de renégocier son taux ou de s’orienter vers un rachat de crédit. Le courtier Vousfinancer.com enregistre sans surprise une forte demande de renégociations de prêt depuis le mois de juin et note que même quelques crédits souscrits en 2016 peuvent déjà être rachetés aujourd’hui !
Le 24/03/2016
L'installation du nouveau compteur électrique d'ERDF va entrer en phase active en 2016, afin qu'à l'échéance prévue, dans cinq ans, 35 millions de « boîtiers » aient été posés.
D'ores et déjà, 300 000 ménages, entreprises ou collectivités en sont équipés, à l'issue d'une phase test lancée en 2009.
D'ici la fin de l'année, 3 millions de foyers devraient en disposer.
Qu'est-ce que cet équipement ?
Une nouvelle génération de compteurs intelligents, Linky doit permettre au client d'avoir accès à des éléments de consommation quasi en temps réel, via un portail internet sécurisé, depuis son ordinateur. En facilitant le suivi énergétique, chacun pourra contrôler l'usage qu'il fait de ses équipements et agir en conséquence, en fonction de signaux tarifaires. La facturation serait simplifiée, fondée sur la consommation réelle et non plus estimée et les interventions (changement de puissance du compteur, modification de contrat...) plus rapides, réalisées à distance et sans rendez-vous.
Les emprunteurs à la recherche d'un prêt immobilier, mais aussi ceux qui en remboursent déjà un, via le rachat de crédit, peuvent bénéficier de taux d'intérêt très attractifs selon les courtiers.
Les taux d'intérêt des crédits immobiliers ont de nouveau reculé en février comparé au mois précédent, selon l’Observatoire Crédit Logement/CSA. Ils se sont établis à 2,09% en moyenne le mois dernier, contre 2,15% en janvier et 2,20% en décembre. Pour l'accession à la propriété dans le neuf, ils se sont affichés à 2,19%, contre 2,08% dans l'ancien.
Des taux durablement bas
Selon le courtier Crédixia, cette nouvelle baisse s'explique par le recul de l'OAT 10 ans qui sert de référence aux banques pour fixer leurs barèmes. Le 2 mars dernier, l'OAT est descendu à 0,5 % contre 0,65 % un mois plus tôt. 'Le discours accommodant prononcé fin janvier par le président de la Banque Centrale Européenne (BCE), Mario Draghi, n'a fait que confirmer cette tendance baissière. La prochaine réunion de la BCE se tiendra le 10 mars prochain, et le président devrait conforter les nouvelles mesures de soutien au crédit', estime le courtier.
Le retour du rachat de crédit
Et pour ceux qui sont déjà en train de rembourser leur emprunt, il est possible de pouvoir renégocier ou faire racheter de son prêt. Cette baisse des taux redonne des perspectives, notamment à ceux qui ont souscrit un crédit à un taux supérieur à 3 % ou 3,20 % et peut concerner les prêts signés avant 2015 pas encore renégociés ou déjà renégociés mais à un taux plus élevé (supérieur à 3 %).
Le marché immobilier fait de l’oeil aux Français. En janvier, ils étaient 3 millions à vouloir faire l’acquisition d’un logement, contre 2 millions en octobre 2015, d’après la 18ème vague de l’Observatoire du moral immobilier publiée par Logic-Immo.com
Un alignement favorable des planètes
Le contexte actuel alimente les intentions d’achat : taux à des plus bas historiques, prix de l’immobilier soit en stagnation soit en baisse, les ingrédients semblent être réunis pour se lancer dans l’aventure. Un sentiment confirmé par près de 7 Français sur 10, pourtant en baisse par rapport aux 80% qui avaient déclaré « passer à l’acte » en avril 2015.
Mais la décision de la Banque centrale européenne pourrait les faire changer d’avis. Elle a en effet frappé un grand coup en abaissant son principal taux directeur de 0,05% à 0,00%. La baisse des taux des crédits aux particuliers pourrait continuer car les banques sont plus que fortement incitées à prêter, aux ménages évidemment mais également et surtout aux entreprises de la zone euro.
Le levier du crédit pour allié
Actuellement, vous pouvez donc vous voir proposer un taux légèrement supérieur à 2%, pour un crédit immobilier sur 20 ans, hors coût de l’assurance. D’autant qu’il est possible de déduire sans limitation de montant et de durée, les intérêts d’emprunt des revenus de la SCPI. Concrètement, une SCPI qui rapporte 5% en moyenne par an financée par un crédit dont le coût réel inférieur à 2%, votre rémunération nette avoisine les 3%. Le crédit est donc votre allié.
La Clé (caution locative étudiante) est une garantie de l'Etat qui permet aux étudiants dépourvus de garants personnels de faciliter leur accès à un logement.
Le dispositif peut bénéficier à tous les étudiants :
• disposant de revenus mais sans caution familiale, amicale ou bancaire
• cherchant à se loger en France, pour y faire leurs études.
• âgés de moins de 28 ans au 1er septembre de l'année de signature du bail.
La demande de CLE s'effectue directement depuis le site www.lokaviz.fr
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