Les news de l'immo
Le 07/05/2018
Désormais discrets et de plus en plus efficaces, les systèmes d’alarme sont conseillés pour vous aider à vivre mieux chez vous, en toute sécurité.
Cela dit, pour se protéger efficacement, il faut choisir correctement le dispositif qui s’adaptera le mieux à votre domicile ou à votre lieu de travail.
Voici donc quelques clés pour vous permettre de faire votre choix.
Une alarme possède deux fonctions principales. La première est de surveiller, et la seconde est de prévenir. Elle surveille donc une zone, un périmètre, ou encore une ouverture. Différents capteurs ou détecteurs vont être positionnés de façon à réagir efficacement à une intrusion, un incendie ou bien un gaz, puis cas échéant, envoyer un message à la centrale d’alarme.
Elle prévient lorsque la centrale d’alarme reçoit un message des différents capteurs.
Selon vos paramètres le coeur du système décide d’enclencher ou pas une sirène, ou de prévenir le propriétaire ou une entreprise de surveillance.
Où habitez-vous ?
En appartement il faudra privilégier un kit alarme sans sirène extérieure puisque la plupart des copropriétés les interdisent. À l’étage vous n’aurez généralement pas besoin de détecteurs d’ouvertures, en revanche au rez-de-chaussée il faudra bien équiper les portes et les fenêtres. Pour une maison, la sirène extérieure est de mise, elle préviendra plus efficacement les voisins en cas d’intrusion. Il est possible de protéger l’accès au jardin où à certaines cours, pour vous avertir de mouvements à l’extérieur et agir ainsi avant qu’il y ait effraction. Les différents kits sont généralement prévus pour une maison ou pour un appartement, cela dit vous pourrez les compléter selon la superficie du lieu à équiper et le nombre de portes ou de fenêtres du logement.
Avec ou sans fil
La plupart des dispositifs sont désormais vendus sans fil. L’installation est très simple et bien plus discrète. Ce sont en plus des systèmes évolutifs. En revanche, même le risque est faible, il y a des possibilités de brouillage des ondes radios ou de piratage. Le système filaire est très sécurisé. Il n’y a aucun risque de piratage ou d’interférence, et si les fils sont coupés alors l’alarme se déclenche. En revanche l’installation est plus complexe. On conseille donc un système filaire dans une maison en cour de construction. On peut alors cacher facilement les câbles et obtenir un rendu esthétique avec un système inviolable. À l’inverse pour une maison déjà bâtie un dispositif sans fil est plus pertinent.
Alarme autonome, système complet, évolutif ?
On trouve des alarmes autonomes qui répondent généralement à un seul besoin concernant votre sécurité. Il va s’agir d’un détecteur de mouvement relié à une sirène ou plus sûrement d’un détecteur d’ouverture ou de bris de glaces pour protéger une porte ou une fenêtre en particulier. C’est parfois suffisant pour un appartement. Un système d’alarme complet permet d’équiper plusieurs postes de la maison, et chaque détecteur est relié à la centrale d’alarme. Il permet de sécuriser facilement toute une habitation. Un système évolutif est un dispositif
complet, mais qui peut être amélioré. Si vous créez une nouvelle fenêtre, que vous ajoutez un garage ou bien un abri de jardin, alors vous pourrez équiper cette nouvelle zone d’un détecteur.
Les systèmes d’alerte
On trouve plusieurs façons d’être alerté par un système d’alarme :
Via internet : La centrale d’alarme utilise le réseau internet pour envoyer un message à votre smartphone. L’alerte peut être envoyée sous forme de mail, de notification à l’aide d’une application dédié à l’alarme, ou bien par SMS. C’est un système fiable, mais qui est dépendant de votre box internet. Il n’engendre aucun coût supplémentaire.
Via le réseau GSM : La centrale d’alarme possède sa propre carte SIM. Elle peut ainsi envoyer un message pour vous prévenir à tout moment. Vous recevez donc un appel ou un SMS. Cette solution fonctionne même en cas de coupure internet et se veut donc plus fiable. En revanche, il faut payer un abonnement mensuel pour la carte SIM chez un opérateur.
Des réseaux privés : Il existe désormais de nouveaux réseaux privés pour les objets connectés, tel que le LoRa ou Sigfox. C’est un mode fonctionnement autonome et sécurisé qui réclame toutefois un abonnement mensuel chez le vendeur d’alarme. Bien sûr pour dissuader et alerter, vous devez installer une sirène. Elle va émettre un son très fort, qui dans de nombreux cas va effrayer et faire fuir les cambrioleurs. Elle se place à l’extérieur pour prévenir le voisinage, et elle est généralement munie d’un flash lumineux qui donne l’emplacement du larcin aux forces de l’ordre.
Différents systèmes de commande
Pour mettre en marche ou éteindre l’alarme il y a plusieurs solutions. Là encore certains systèmes de commande seront mieux adaptés que d’autres.
Le clavier est le système le plus utilisé et probablement le plus sûr. Il est à l’intérieur, et il faut donc d’abord ouvrir la porte, puis taper le code dans un temps imparti. On peut posséder plusieurs codes et les changer quand on le souhaite.
La télécommande permet un verrouillage et un déverrouillage de l’alarme à distance. C’est pratique puisque c’est rapide, mais on peut se faire voler la télécommande facilement, ou bien la perdre. Le badge active et désactive le système lorsqu’on approche. Il peut être caché et donc très discret. C’est un système idéal pour les enfants puisqu’il ne réclame aucune manipulation et on peut le cacher dans leur sac pour qu’ils ne le perdent pas.
Source : www.alarme-maison.biz
Le 05/03/2018
Ce constat ressort d’une étude réalisée, début 2018, par le cabinet Elabe pour le compte du Crédit Foncier, auprès d’un échantillon représentatif de la population française, de 2 400 personnes âgées de 18 ans et plus.
Quatre personnes interrogées sur cinq répondent que le logement qu’elles occupent correspond totalement (9 %) ou en grande partie (70 %) à leurs besoins ; 85 % d’entre elles considèrent leur habitation comme un cocon et un lieu de vie pour recevoir. Seuls 14 % des Français décrivent un logement purement fonctionnel « un lieu de passage, un toit sous lequel dormir ».
La plupart des Français partagent également une définition commune des critères « qui comptent » pour choisir ce logement : ils identifient pas moins de huit exigences (importance attribuée supérieure à 7/10 sur une échelle de 0 à 10), aux premiers rangs desquels la charge mensuelle de logement, le type d’habitation (maison ou appartement), l’état général, la surface totale, le nombre de pièces et l’exposition/ la luminosité. Concernant la localisation et l’environnement du logement, ils ajoutent la proximité aux lieux fréquentés (travail pour les actifs, établissements scolaires pour les parents) et le calme.
Même si l’on doit nuancer ces chiffres selon les régions et la taille de la commune de résidence, ce sont toujours au minimum les trois quarts des personnes interrogées qui déclarent avoir réussi à trouver un logement répondant
à leurs besoins : le niveau d’adéquation du logement est d’autant plus élevé que les prix de l’immobilier sont plus bas, c’est-à-dire dans les
communes de moins de 20 000 habitants et en province. On peut noter aussi que les propriétaires sont plus satisfaits que les locataires, et les occupants de maisons davantage que ceux d’appartements.
Les Français projettent, lors de leur installation, d’y demeurer en moyenne 21 ans, période corroborée par les statistiques officielles de l’Insee qui estiment à 17 ans la durée moyenne d’occupation d’un logement par un ménage donné.
Pour autant, plus de la moitié des Français (52%), affirment que trouver le logement correspondant à leurs besoins a été difficile. Et, sur ce
point également, les prix de l’immobilier influent sur les différences d’appréciation. Alors que six habitants d’Ile-de-France sur dix ont eu des difficultés à trouver leur logement, la proportion est quasiment inverse parmi les résidents des villes de moins de 20 000 habitants, 56% jugeant qu’il leur a été facile de se loger.
Selon la présente étude, les personnes interrogées déclarent, propriétaires et locataires confondus, consacrer près de 40 % (38,4%) de leurs dépenses mensuelles au logement. Le poids de ce budget consacré au logement peut être diminué pour certains par des aides dont ils peuvent bénéficier. Enfin, les dispositifs publics d’aide au logement, qui constituent un des facteurs qui expliquent le dynamisme immobilier des dernières années, sont largement connus des Français : 77 % pour les aides au logement (APL) et 62 % pour le Prêt à Taux Zéro (PTZ).
Etude publiée le 1 er février 2018 réalisée par le cabinet Elabe pour le compte du Crédit Foncier
Le 11/09/2017
L´allocation logement existe sous différentes formes ; l'aide personnalisée au logement (APL), l'allocation de logement familiale (ALF) et l'allocation de logement sociale (ALS). Focus sur leurs conditions d’attribution, ainsi que la procédure à suivre auprès de la Caf pour les obtenir.
Avant de faire sa demande auprès de la Caisse d'allocations familiales (Caf), encore faut-il savoir à quoi l’on a droit et dans quelles conditions. Il existe en effet plusieurs types d’allocation logement. L’aide personnalisée au logement (APL) est une allocation versée au particulier en raison de la situation de son logement. Elle est destinée à des locataires (mais aussi colocataires ou sous-locataires déclarés au propriétaire) d'un logement conventionné ayant de faibles ressources, à des résidents en foyer d'hébergement ou à de nouveaux accédants à la propriété (acheteurs ou constructeurs) ayant bénéficié d'un prêt conventionné (PC) ou d'un prêt d'accession sociale (PAS).
L'allocation de logement familiale (ALF) est attribuée au particulier en raison de sa situation familiale. Sous conditions de ressources, elle est destinée notamment aux jeunes ménages, aux femmes enceintes, aux personnes en charge d'un enfant de moins de 21 ans ou d'un ascendant de plus de 65 ans et aux bénéficiaires de prestations familiales ou de l'allocation d'éducation de l'enfant handicapé (AEEH). Enfin, l’allocation de logement sociale (ALS) est destinée aux personnes en difficultés mais qui ne peuvent prétendre à l’APL ou à l’ALF. En général, l’ALS concerne les jeunes, les étudiants, les couples sans enfants dont la somme des âges est supérieure à 55 ans, les personnes âgées ou handicapées.
Chaque particulier peut effectuer sa démarche en ligne sur le site de la Caf, rubrique “Les services en ligne”, sous-menu “Faire une demande de prestation”. Avant d’envoyer leur demande, tous les candidats à une allocation logement peuvent savoir immédiatement s’ils ont le droit de bénéficier de l´APL, de l´ALF ou de l´ALS grâce au simulateur en ligne du site de la Caf, rubrique “Les services en ligne”, sous-menu “Estimer vos droits : les aides au logement”.
Si elle doit, en principe, être remplie directement en ligne, la demande d´allocation peut exceptionnellement se faire sur papier pour les seules personnes rencontrant des difficultés avec internet. Le Cerfa n° 10840 n’étant désormais plus téléchargeable en ligne, il est possible de se procurer le formulaire papier auprès du guichet de la Caf.
Un étudiant peut prétendre aux trois types d’allocations logement selon sa situation. S’il habite dans un logement conventionné, il peut bénéficier de l´APL. Si sa situation familiale le lui permet (enfant à charge, étudiante enceinte, etc.), il peut recevoir l´ALF. Enfin, s´il n’est éligible ni à l’APL, ni à l’ALF, il peut demander l´ALS s´il ne bénéficie que de faibles ressources. Ces allocations ne sont pas cumulables entre elles.
Une personne vivant en maison de retraite peut, quant à elle, bénéficier de l’APL si elle réside dans un établissement conventionné ou de l’ALS si l’établissement n’est pas conventionné mais respecte les normes de salubrité et de superficie en vigueur. Le montant de l’allocation logement sera calculé en fonction des ressources et du loyer de la personne vivant en maison de retraite.
source : capital.fr
Le 10/07/2017
A noter toutefois que le marché immobilier américain n'est pas uniforme : le prix de la pierre n'a pas enregistré la même évolution dans toutes les grandes villes ces dernières années. A San-Francisco, par exemple, le prix médian des logements individuels a bondi de 54% depuis 2012 (+7,3% entre le 4e trimestre 2016 et le 4e trimestre 2016). Un marché 'nettement surévalué', d'après le géant de l'industrie bancaire suisse UBS. A l'inverse, le marché immobilier à Chicago, lui, reste sous-évalué, selon la société de services financiers helvétiques. Dans cette zone métropolitaine, l'indice des prix a toutefois progressé de 8% entre le 4e trimestre 2015 et le 4e trimestre 2016.
Quid de l'immobilier en France ? Les prix sont repartis à la hausse depuis le 2e trimestre 2015, avec +2%. Une fois de plus, le marché immobilier n'est pas un et indivisible. Dans certaines régions, et notamment certaines grandes villes, la hausse des prix est plus brutale que dans d'autres. Paris fait par exemple partie des métropoles tricolores où le prix de la pierre augmente le plus en mai 2017, avec +6,2% sur un an. Le marché immobilier parisien est d'ailleurs surévalué, selon UBS, mais rien à avoir avec Londres, ni même avec San Francisco. Sur tout le territoire, les prix dans l'ancien ont cru de 1,7% sur un an au 4e trimestre 2016, selon l'indice Notaires de France-Insee (+0,5% sur un trimestre). Et
la tendance n'est pas près de s'inverser, à en croire leurs prévisions. Du côté des transactions dans l'Hexagone, le même constat s'impose : les ventes de logements anciens ont même dépassé les plus hauts historiques, connus en 2006 et 2012. En cumul sur les douze derniers mois, d'après
les chiffres publiés par les Notaires de France en avril 2017, le nombre de transactions dans l'ancien s'élève à 867 000. Un dynamisme qu'ils attribuent à la faiblesse des taux immobiliers, d'une part, ainsi qu'au succès du PTZ et du Pinel.
Pas pour tout de suite, d'après un certain nombre d'experts. A commencer par ceux de l'agence de notation Standard & Poor's. Dans la dernière édition de son étude biannuelle sur les marchés de l'immobilier en Europe, elle anticipe une augmentation de 2% des prix immobiliers en
France en 2017, après une hausse estimée à 2% en 2016, en raison des conditions de financement favorables et de l'amélioration du marché du travail. Le cabinet d'analyses Xerfi estime lui aussi à 2% l'augmentation des prix des logements collectifs en 2017. En revanche, il mise sur une progression de 2,6% des prix dans l'ancien.
Carte du prix de l'immobilier par département.
Voici, grâce aux données de MeilleursAgents.com, le prix moyen du mètre carré par département (maisons et appartements confondus) en mai 2017. Dans 30% des départements français, parmi lesquels figurent notamment l'Allier, la Corrèze et la Loire, le prix moyen du mètre carré demeure inférieur à 1 300 euros. Dans quelques rares autres, il excède les 4 000 euros. C'est le cas en Ile-de-France, dans les Hauts-de-Seine, dans le Val-deMarne ainsi qu'à Paris, et dans les Alpes-Maritimes
Sans grande surprise, c'est à Paris que les prix des appartements, net vendeur, c'est-à-dire hors frais d'agence et frais de notaire, sont les plus élevés, à 8 589 euros le mètre carré en mai 2017, sel on le site d'informations immobilières MeilleursAgents, soit une hausse de 6,2% par rapport à mai 2016.
Autre grande ville qui se distingue par des tarifs immobiliers élevés, Cannes, avec 5 272 euros du mètre carré, en très légère baisse sur un an (-0,1%). Un chiffre bien supérieur au prix immobilier moyen à Antibes, pourtant située à quelques kilomètres seulement, où le prix moyen du mètre carré pour les appartements s'élève à 4 382 euros au 1er mai 2017 (-0,1%).
Quid de la deuxième plus grande ville de l'Hexagone ? A Lyon, le prix des appartements est en hausse de 6,8% sur un an, à 3 483 euros le mètre carré en ce début d'année. Marseille, quant à elle, affiche un prix moyen du mètre carré de 2 437 euros, un chiffre en hausse de 1,8% sur un an, après +2,3% en avril. Côté évolution, Tourcoing (-5,4% sur un an) Roubaix (-3,7%) et Mulhouse (-3,1%) enregistrent les plus fortes baisses sur un an. À l'inverse, certains marchés progressent très nettement. C'est le cas de Bordeaux (+11,2%, après +10% en avril), Lyon (+6,8%) et Paris (+6,2%). Prix de l'ancien et du neuf Au 4e trimestre 2016, les prix des logements anciens en France métropolitaine augmentent de 0,7% sur trois mois (données corrigées des variations saisonnières), après une hausse de 0,8% au 3e trimestre. Sur un an, ils progressent de 1,8%, soit la plus forte augmentation depuis le 1er trimestre 2012, après une hausse de 1,4% au 3e trimestre.
Dans le détail, les prix des appartements augmentent de 2% sur un an et ceux des maisons enregistrent une hausse de 1,8%. Dans le neuf, l'indice du prix des logements progresse de 1,4% sur trois mois au 3e trimestre 2016 (données brutes) et de 0,9% sur un an. En données brutes (graphique ci-dessus), l'indice des prix des logements anciens recule de 0,4% sur un trimestre et de 1,8% sur un an.
source © JDN
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